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recherche/expérimentation en AB

INTERACTION GENOTYPE X PROTECTION SANITAIRE EN CULTURE BIOLOGIQUE DE POMME DE TERRE

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Localisation
Bretagne
 

 

Organisme(s) des responsables

PAIS


Productions

Pommes de terre
 

Thématiques

Gestion des ravageurs
Produits de protection des cultures
 


Objectif

Evaluer l'impact de la protection antifongique (à base de cuivre) sur le comportement de différentes variétés de pomme de terre vis à vis du mildiou.

Résultats

Type de diffusion
Article technique de vulgarisation
Synthèse, rapport

Propriété des résultats

Initiative Bio Bretagne

Localisation des résultats

Initiative Bio Bretagne, PAIS
http://www.bio-bretagne-ibb.fr/qui-sommes-nous/initiative-bio-bretagne/la-pais/

Résultats attendus

Les conditions contrastées dans lesquelles les essais Pomme de terre de la P.A.I.S. ont été menés ont permis de réaliser 2 essais aux résultats qui découlent directement des conditions climatiques.

La série précoce ayant subi une pression de mildiou très forte confirme l'impossibilité de produire des pommes de terre en AB avec une dose réduite de cuivre (4kg de cu/ha/an) quand la pression de maladie est forte.
La seconde série (plus tardive), avec une pression de mildiou tardive et plus modérée a permis d'évaluer les différentes modalités (variétés et traitements) dans des conditions plus habituelles à la P.A.I.S.
Les résultats obtenus dans notre contexte confirment d'une part les différences de sensibilité variétale au mildiou (Yona plus tolérante que Nicola, elle-même plus tolérante que Lady Christl dans les deux essais).
Ils montrent d'autre part qu'il est possible de réduire les doses de cuivre à moins de la moitié de 4 kg/ha/an (demi dose de l'essai) dans des conditions de pression modérée sans risque sanitaire pour la culture ni baisse de productivité.

Par contre, dans les conditions de nos essais, rien ne permet de conclure que l'application de produits cupriques ont une influence délétère sur la culture (cf postulat de départ selon lequel les premières interventions phytosanitaires favoriseraient le développement du pathogène sur la culture).
 

Partenaires scientifiques et techniques

aucun


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